Nous l'avons visité.

[GH2 sur le plan]
Camille : Vendredi matin, nous sommes partis de l'école à pied vers 9 h environ. Nous sommes
allés au LSBB et nous l'avons visité.
Florian Rai : Avant, on y gardait des missiles nucléaires.
Maxime : On aurait dû y aller en car, mais il n'est pas venu alors nous sommes partis à pied.
Amandine : Il y a plein de salles sous la montagne.

Anaïs C : Ici, c'est le portail blindé et il y a des caméras.
Maxime : Quand on est arrivé à l'entrée du LSBB, on s'est partagés en trois
groupes. Moi, je n'ai pas eu de chance, j'étais avec des filles.
Clémence : Moi, j'étais très fatiguée quand nous sommes arrivés. J'étais
très contente de le visiter, mais je n'étais pas contente parce que mon groupe était le dernier
pour monter dans le petit train.
Anaïs C : Nous avons fait des groupes de 9.

Gaëlle : Le monsieur qui s'appelle Jean-Yves nous a demandé d'écrire notre nom sur une
feuille.
Anaïs C : Le premier groupe partait dans des wagonnets. Pendant ce temps, le deuxième groupe
et le troisième travaillaient avec Jean Yves. Ensuite, quand nous sommes revenus, le deuxième groupe
est allé aux wagonnets. Le premier groupe est allé travailler, le troisième est allé
dehors. Quand le deuxième groupe est arrivé, le troisième groupe est parti dans des wagonnets.
Pendant ce temps le premier et le deuxième groupe sont allés se balader.
Jennifer : Les groupes 2 & 3 sont allés avec Jean-Yves. On pouvait lui poser des questions.

Edward : On y va en wagonnets tirés par un chariot électrique. Au fond il y a la capsule,
enterrée sous la montagne. C'est une salle blindée. Aujourd'hui, on y fait des expériences
scientifiques.
Florian Riv : Si on n'avait pas pris le petit chariot, on y aurait passé la journée, vous
savez. Je n'ai jamais vu un tunnel aussi long !

Camille : Le conducteur est monté sur le chariot électrique qui remorque des wagonnets.

Camille :Et hop ! C'est parti, on démarre.

Eloïse : Julia et moi, on regardait le plafond parce que quand on avançait, on dirait que
ça va très vite, alors on baissait la tête.
Camille :On regarde le plafond du tunnel et quelquefois on aperçoit des stalactites. Dès qu'il
y a une salle, on s'arrête. Le conducteur nous explique le matériel puis on remonte sur les wagonnets.
Chloé : On a vu des choses extraordinaires.
Florian Rai : Il y a des tubes néon qui éclairent bien.
Emmanuel : Il y a des trottoirs avec des fils qui passent sur les murs et des extincteurs.
Gaëlle : Au plafond, il y avait (quelquefois) des petites stalactites, et il faisait froid : 14 degrés.
(C'est la température habituelle sous terre, en fait. On avait un peu froid quand
on se déplaçait sur les chariots, à 20 Km/h)
Anna : Nous sommes allés dans une salle ou il y avait des machines et des fils qui servaient aux
renseignements. Après nous sommes allés dans une salle avec plein de tuyaux jaunes.
Florian Riv : Il y avait une salle avec des appareils pleins de boutons et une autre avec des ventilateurs
énormes.

Edward : Il y a une salle avec un gros moteur de bateau (un groupe électrogène).

Kristy : Quand on s'arrêtait, il y avait des portes blindées à ouvrir.
Jean-Edouard : Cette porte est la plus blindée de toutes. C'est la porte de la capsule.

Anaïs C : Là, on se dirige vers la capsule. Les murs sont blindés. L'acier fait
1 cm d'épaisseur et le béton derrière 2 m !

Florian Rai : On a vu une expérience sur les plantes.
Camille : Ils nous ont montré des expériences avec des plantes privées du champ magnétique
terrestre.
Julia : On les prive du champ magnétique pour voir s'ils ont des défauts.
(Le blindage de la salle en fait une cage de Faraday qui la coupe même du champ magnétique
terrestre)

Maxime : Celle-là c'est ma préférée : il y a un ordinateur avec sur l'écran
des drôles de vagues.
Les ingénieurs du LSBB : C'est la visualisation de la houle sur le continent.

Gaëlle : La petite boîte noire est un sismographe ; ça capte tout.
Olivier : Il y a des sismographes qui détectent les vagues de la Méditerranée, les
mouvements de l'écorce terrestre.
Adrien : A côté, c'est l'antenne radio qui va jusqu'au sommet de la montagne.
Jennifer : L'antenne est toute défaite car elle ne sert plus.
Les ingénieurs du LSBB : Elle n'est pas défaite, c'est une enveloppe de
protection.

Clémence : Au retour, c'était trop bien ! Le petit train allait très vite.
Josselin : Quand c'était le tour du groupe 2, le conducteur faisait des zigzags et il klaxonnait.
Ugo : Puis nous sommes allés faire une promenade en attendant le troisième groupe.
Josselin : On a récupéré le troisième groupe et on est rentré en classe.
Pour se rendre au LSBB :
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